Vincent
lundi 18 mars 2024 à 18 h 01
Une parenthèse comme on en fait trop rarement. Incroyable coucher de soleil, horizon ouvert et si bouché en même temps, vie de quartier en mode fourmilière, seuls quelques passants qui ont levé les yeux et découvert le veilleur que j’ai incarné. À seulement quelques centimètres du vide, ça aurait pu être une épreuve mais les pensées sont telles que leur flot continu efface toute peur ou appréhension du vide, au contraire. J’ai aimé veillé sur la ville.