Théo
mardi 26 juillet 2022 à 20 h 37
« J’oublie toujours que Paris et l’Île-de-France restent une partie d’un paysage et d’un écosystème plus large. Le pied à terre, entouré d’immeubles, il est facile de se sentir oppressé.e.
Ce soir, en prenant un peu de hauteur et en regardant les coteaux du Vexin, au loin, je me rappelle que les soucis “urbains” perdent de leur crédibilité et de leur poids lorsqu’on regarde l’immensité du territoire. Ça fait du bien. »
Théo