
Taous
Mais qu’il faisait chaud ! Des gens paient pour le sauna, alors je suppose que c’est bien, mais sur le moment, ce fut pénible. Jusqu’à l’arrêt du temps, au moins. Les perruches, les pies et les corneilles m’ont distraite. Les changements de lumière aussi, et puis d’un coup, les sons qui étaient un fond constant prenaient le devant.
Belle verdure dans un écrin de béton, il faut te protéger et on ne le fait pas assez, dans la ville et ailleurs.
C’est beau, vraiment, le monde dans lequel on vit, et on devrait prendre, tous, plus le temps de l’apprécier. Peut-être alors le protègerait-on mieux. Il était avec moi même s’il n’est plus là, et je crois que ce sera toujours comme ça.