Sandrine
« Une heure pleine, pleine du cri des enfants, pleine de la musique poussée dans les haut-parleurs de la fête sportive organisée sur le stade au pied de la maison des veilleurs, musique ponctuée de tubes d’hier et d’aujourd’hui, j’y entends une des chansons de Céline Dion « On ne change pas », chanteuse qui a marqué bon nombre d’entre nous et que je retrouve à cet instant ; une heure pleine de lumières qui jouent à cache-cache avec les nuages, les formes de nuages, les lignes de nuages. Il faut garder les yeux grands ouverts pour ne pas manquer cette percée lumineuse tantôt à gauche, tantôt à droite. Derrière les nuages, il y a toujours la lumière. Derrière les fenêtres, il y a aussi les lumières. Entre les immeubles, il y a les phares des véhicules qui traversent la ville.
Une heure, c’est riche de sens, de lumières et d’envolées vers ceux qui nous entourent là, en bas, et ceux ailleurs, dans notre vie et l’au-delà. »
Sandrine