Paul
mardi 1er mars 2022 à 07 h 31
« Dans l’intimité du réveil
Au lever du jour, ce matin
Lentement, le temps passe vite
Entre la ville qui dort, immobile
Et la ville qui vibre, vivante
À hauteur d’oiseau
Dans la couleur du réveil
La douceur et l’empathie
On voit près, de loin
Je pense à eux là-bas
Il n’y a pas de distance, la lumière nous unit
« Quand je serai grand, je serai un oiseau »
Dans la chaleur de l’hiver
Le bois et le verre, le béton et le vert
Des bourgeons et des chiens
Là-haut, celui qui veille
Et dans avec le monde
Qui tourne. »
Paul