Noémie
« Vous voir voler vers le levant, la lumière douce du petit matin comme un appel, une promesse. et puis, plus tard dans la chaleur et les arbres déjà dressés en faisceau vous voir revenir, peupler ce ciel bleu azur.
Toi la dentelle des arbres de l’orient, toi suspendue, légère panoramique, l’autre, la ville d’abord à peine perceptible dans tes contours, puis étincelante accrochée aux reflets de verre, de métal, et d’un coup endormie, reposés, le choc orangé a disparu, tu t’es recouchée, enfouie sous le délice de l’édredon… alors “Ché cha l’aube naissante, miraculeuse et puis plus, plus rien” ? Non c’étaient les prémices, tu t’es levé, es apparu, doré enfin diffusant tes rais sur la ville annonçant la bonne humeur luminescente de cette journée d’août ! Merci à la vie. »
Noémie