Loren
lundi 5 février 2024 à 08 h 15
D’abord : la rue. Qui hape, celle qu’on vient de quitter. Et puis : c’est l’étage des oiseaux. Ceux-là on les voit dessous. Ensuite les autres bonhommes, sur d’autres toits qui font autre chose mais on dirait qu’ils/elles veillent un peu aussi. Ce serait chouette comme métier, veilleur•se de ville. Les sons qui arrivent, les sens qui réveillent. Qui est entre la rue et le ciel en fait. Y’en a 2 en vélo qui ont levé le visage. La vitre dans mon dos on dirait qu’elle m’appartient un peu plus que celle en face de moi. Comme s’il y avait celle du dedans et celle du dehors.