Laurine
mardi 22 février 2022 à 17 h 21
« D’abord l’odeur, celle du bois. Et le son sourd du vent et des voitures au loin. L’air chaud au centre et une brise d’air côté Montreuil.
Mes pensées naviguent, voyagent, restent étrangement dans un mouvement permanent. Je raconte, me raconte, décrit, pense…
Un homme s’accroche à un arbre puis trottine à reculons.
Côté Montreuil, le stade ne désemplit pas. Un homme reste assis durant presque toute une veille. Je suis côté Paris lorsqu’il s’éclipse enfin.
C’est accroché à ces presque rien que je me suis laissée porter et voyager au long des chemins, de l’infiniment proche au lointain.
Merci. »
Laurine