Isabelle
Le chant des oiseaux, le cru des mouettes, le brouhaha de la ville qui reprend petit à petit, un ronronnement qui gronde de plus en plus, quelques piétons, des livraisons, une joggeuse, des cyclistes, les lumières des signalement s’allument, un camion poubelle passe, des promeneurs de chiens, un taxi, d’autres camions et voitures au loin, le ballet des trains qui rentrent et qui sortent de la Gare de Lyon, les corbeaux qui passent de toit en toit, une mer de nuages comme une couche d’ouate au dessus de la ville, les monuments - repères tels des marqueurs immuables...
Une tentative d’épuisement de la ville à partir d’un observatoire perché, Pérée en altitude, l’espace de la ville est si petit et infini...