Gwladys
« Je suis arrivée dans cette cabane avec joie. Enfin. J’allais prendre une heure pour moi et moi seule. Je me suis assise, quelques larmes étaient sur le point de tomber. La joie de de ne rien faire, enfin ! Peu à peu mon regard a pris des risques… les premières minutes se sont penchées sur le sol, puis le regard a pris le risque de contempler les immeubles, puis plus loin en se dévoilant ce qu’il avait au loin, pour enfin regarder le ciel et replonger dans un jeu d’enfance : s’imaginer quel animal représentait les nuages qui passent. Le corps s’envolait au fil du temps, les yeux se ferment. Seuls les cris, le sifflet de l’arbitre, les aboiements des chiens composent le paysage. Les vibrations ont fait vibrer la cabane. Je suis seule avec un corps qui s’enfonce et un esprit qui se repose. Je suis bien. Merci à chaque personne qui ont fait et font vivre ce projet. »
Gwladys