
Daniel
Dans la boite en bois vitrée de Johanne, le jour se lève, bruit de la voirie derrière, quelques coureurs à pieds, en face des figuiers, les immeubles, les reflets du soleil, de beaux nuages, des grenouilles, des oiseaux, 2, 3 avions et pour finir les perruches.
La nouvelle conception du paysage avec des barrières en bois autour de la nature, les noues... J’ai du mal à comprendre, comme si la nature était faite que pour voir mais surtout pas y mettre le pied et pas se mélanger. (Je ne parle pas du parc et de la lutte héroïque des jardiniers de l’Alstom pour continuer à exister bravo !) Je parle de ce qui se fait à l’heure actuelle dans la ville en matière de végétalisation. Vive les friches ( de vreesh-frais). Et l’agrandissement du fordèn de l’impasse juif à Saint-Ouen. Quand est-ce que la ville arrête de faire semblant ? Moins de réunion ; Plus d’action. Sinon à part ça, c’est bien de veiller sur le monde et de songer à celles et ceux qui sont dans la guerre. Rassemblement à JAULNES à 12h aujourd’hui pour un pique-nique contre l’industrialisation de la Seine.
Merci à Shou Hui pour l’accueil