Carolyn
J’ai pensé à Où est Charlie, à Fenêtre sur Cour, à Turner et à Monet.
On ne sait plus le temps, ce qu’il est sensiblement en dehors des horloges, des smartphones, de la course permanente dans laquelle on se lance parce que ça nous rassure mais sans savoir pourquoi.
J’ai adoré regarder le ciel, le proche, le lointain, percevoir les sons de ville apaisés, entendre des trains, des cris d’enfants et le vent, enveloppant.
On se sent immense et minuscule, fort de retrouver la force de la nature et impuissant.
J’ai voulu aimer ceux dont je devinais des bribes de vie imaginaire.
Merci. Profondément. Être cette partie d’un tout, de cette expérience sensible d’un humanisme salvateur me procure un apaisement dont je suis infiniment reconnaissante à tous ceux qui font et permettent ce Cycle des Veilleurs.