
Anaïs
vendredi 27 juin 2025 à 05 h 49
Est-ce passe temps d’écrire ?
Est-ce passe temps de veiller ?
Des bruits, ceux des oiseaux, ceux des voitures, qui s’amplifient petit à petit.
Un chien, une joyeuse, le gardien du parc.
Et là-bas au fond, oh, c’est La Défense !
Dans cet abris, je pourrais me sentir enfermée, mais mon esprit vagabonde, se sentir libre en observant le vol des oiseaux, la parade des pigeons, ces barres d’immeubles atypiques que j’ai pourtant vu des centaines de fois.
Quelques petits mouvements de corps, étirements, bâillements, les pieds nus, ancrés dans le bois du sol. Le temps s’égraine, j’en perds la notion et hop, voilà qu’on toque à la porte !